Créer un podcast, écrire sur mon blog, intervenir dans des ateliers de yoga …. partager sur les réseaux sociaux … me fait beaucoup réfléchir sur la place de mon ego, sur l’utilité ou pas de ce que je fais et de ce que j’en retire.
Il y a le détachement des fruits de l’action et le contentement.
Tout un programme mais aussi parfois un véritable débat tumultueux interne.
Il n’est pas rare que j’ai envie de fermer par exemple mon compte Instagram ou Facebook.
Parfois je me demande pourquoi j’écris ou parle devant mon micro.
L’exercice est à la fois simple et difficile. Je suis une traite bavarde. Et j’explore d’abord qui je suis. Les clés sont mes clés mais l’expérience peut servir et le questionnement en miroir aide, permet d’avancer sur son chemin.
Et puis se détacher : qui écoute ? Combien lisent le blog ? Comment atteindre une renommée internationale ? Non là je déconne !!!
Et puis il y a ce rappel constant : tu fais pour faire. Derrière le blog, le podcast, il y a des gens qui viennent et qui reviennent (mes préférés, forcément, mes abonnés, c’est marrant de dire ses abonnés d’ailleurs). Alors non ce travail n’est pas vain. Outre qu’il me tient et soutient, surtout il est source de contentement. Bon de frustration aussi … mais d’abord et majoritairement de contentement.
Déjà tout simplement parce que je finis un article ou un audio. Et c’est du boulot. Il m’arrive même d’enregistrer 2 ou 3 fois un podcast parce que je le trouve nul ! Écrire, parler, permet d’affiner (parfois difficilement je l’avoue) une réflexion. Parfois elle est trop nébuleuse et elle reviendra 1 fois, 2 fois voire plus. Et puis pof, elle éclot.
Bon je vous le dis aussi n’étant pas encore illuminée/éveillée, j’adore qu’on me dise que le podcast était super intéressant ou bien que l’article du blog vous a plu. Et oui, je suis méga humaine ! J’ai du boulot en yoga … mais vous voulez que je vous dise ? C’est GENIAL !
Enfin un grand merci de partager ! Cela me donne l’occasion d’élargir mon lectorat / auditoire, de passer des frontières, de m’envoler vers des horizons lointains ou moins lointains
Bref vous devenez en partageant des distributeurs de contentement !
Et puis MERCI . Hé oui ! Merci de m’écouter, me lire et d’être arrivé jusque là !
Le 13 novembre c’était la journée de la gentillesse : alors recevez tous ma gratitude. Inspirez et gardez la dans votre cœur.
Créer un podcast, écrire sur mon blog, intervenir dans des ateliers de yoga …. partager sur les réseaux sociaux … me fait beaucoup réfléchir sur la place de mon ego, sur l’utilité ou pas de ce que je fais et de ce que j’en retire.
Il y a le détachement des fruits de l’action et le contentement.
Tout un programme mais aussi parfois un véritable débat tumultueux interne.
Il n’est pas rare que j’ai envie de fermer par exemple mon compte Instagram ou Facebook.
Parfois je me demande pourquoi j’ecris’ou je oarle devant mon micro.
L’exercice est à la fois simple et difficile. Je suis une traite bavarde. Et j’explore d’abord qui je suis. Les clés sont mes clés mais l’expérience peut servir et le questionnement en miroir aide, permet d’avancer sur son chemin.
Et puis se détacher : qui écoute ? Combien lisent le blog ? Comment atteindre une renommée internationale ? Non là je déconne
Et puis il y a ce rappel constant : tu fais pour faire. Derrière le blog, le podcast, il y a des gens qui viennent et qui reviennent (mes préférés, forcément, mes abonnés, c’est marrant de dire ses abonnés d’ailleurs). Alors non ce travail n’est pas vain. Outre qu’il me tient et soutient, surtout il est source de contentement. Bon de frustration aussi … mais d’abord et majoritairement de contentement.
Déjà tout simplement parce que je finis un article ou un audio. Et c’est du boulot. Il m’arrive même d’enregistrer 2 ou 3 fois un podcast parce que je le trouve nul ! Écrire, parler, permet d’affiner (parfois difficilement je l’avoue) une réflexion. Parfois elle est trop nébuleuse et elle reviendra 1 fois, 2 fois voire plus. Et puis pof, elle éclot.
Bon je vous le dis aussi n’étant pas encore illuminée/éveillée, j’adore qu’on me dise que le podcast était super intéressant ou bien que l’article du blog vous a plu. Et oui, je suis mega humaine ! J’ai du boulot en yoga … mais vous voulez que je vous dise ? C’est GENIAL !
Enfin un grand merci de partager ! Cela me donne l’occasion d’élargir mon lectorat / auditoire, de passer des frontières, de m’envoler vers des horizons lointains ou moins lointains
Bref vous devenez en partageant des distributeurs de contentement !
Et puis MERCI . Hé oui ! Merci de m’écouter, me lire et d’être arrivé jusque là !
Le 13 novembre c’était la journée de la gentillesse : alors recevez tous ma gratitude. Inspirez et gardez la dans votre cœur.
Www.caroyogablog.fr
Au fil du yoga podcast
C’est vrai que c ‘est questionnant ces nouveaux moyens de partage et cette véritable envie de partager pour avancer aussi dans la pratique dans la réflexion.
J ai fermé face book mais garder Instagram, peu de gens me lisent , j ai des relations privilégiées avec peu d élèves … et être inconnue me plaît bien. J aime votre sincérité
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La sincérité est pour certains offensante, peu admissible. J’ai osé poster quelque chose concernant l’utilisation de l’anglais dans le yoga, du type : teacher training au lieu de formation de yoga alors que celle ci est faite en français et en France. C’est aberrant. Évidemment cela a été très mal perçue et je me suis prise quelques phrases bien condescendantes. Ce qui me fait vraiment penser que Facebook n’est pas fait pour la sincérité et même l’expression de son opinion, surtout quand elle dérange. Je suis comme vous : très peu suivie hormis mes 5 élèves et mes amis de formation qui sont tous étrangers. Ce qui me convient bien après moult réflexions. Je le garde pour le podcast et le blog ou quand je fais un atelier. J’y vous aussi quand même de jolies choses (heureusement) mais j’avoue trop regarder. Là c’est un attachements et de l’ego, un truc du genre do j’ai un like c’est que je suis aimé alors que 10 ans en arrière cela ne se posait pas. Le yoga nous mène t il sur des pentes où en nous exposant nous devenons plus fragiles ? C’est une piste à explorer. En tous les cas je vous remercie parce que vos messages sont toujours un plaisir pour moi. Je vous souhaite une belle soirée
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J’ai peu l’occasion d’échanger en dehors de la formation de philosophie que je suis en ligne avec Dr Nagaraj et mon ami Sello, yogi sud Africain. J’utilisais face book quand j’avais une carrière de chorégraphe, aussi pour garder contact avec des amis éloignés mais les propos souvent si malveillants m’ont poussé à fermer mon compte , j’ai eu une sensation de soulagent après. Parfois j’ai de grandes envies d’écrire , sur le yoga. Sur la vie… et puis je me demande qui va lire ceci . J’écris aussi dans des carnets manuels , art journal , carnet créatif jonglant entre mots et dessins
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C’est pile ce que je pense. Là je suis dans ma période communication mais parfois c’est silence. Tout dépend de mon humeur !!
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Écrire, parler , partager le yoga sont des nécessités de valeurs, enseigner c est avancer soi même sur le chemin. Être en marche vers le yoga développe une autre manière de communiquer, namaste bonne soirée
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Bonne soirée
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